Un trésor secret par: Georges Chérif
Comme d’habitude, chaque
lundi, nous allons avec notre promotion dans des différents endroits, pour faire des
recherches. Cette fois-ci, nous nous dirigeons vers le quartier d’éboueurs à
« Mansheyet Nasser el Mokattam »,
où les collecteurs des ordures, faisant le tri sélectif, recyclent
les déchets.
Notre première impression, suite à notre arrivée au quartier et avant même de quitter le bus, est l’impossibilité de vivre dans un endroit comme ceci. En effet, nous remarquons la présence des montagnes, d’ordures, des déchets et des mouches, sur les deux côtés de la rue tout au long du chemin. De plus il y a une odeur insupportable comme s’il y avait des cadavres et pas des êtres vivants. Ensuite le bus s’arrête et nous descendons dans la rue, c’est une image inoubliable, les déchets partout, les bâtiments sont anciens, il y a beaucoup de mouches, de boue par terre, des animaux, surtout des ânes. Nous commençons à nous déplacer dans le quartier ; nous voyons des enfants qui jouent ensemble, des femmes qui restent devant leurs maisons au milieu des ordures en faisant le tri sélectif. Il y a aussi des marchandises et des domiciles. Il y a aussi quelque chose remarquable, c’est que la plupart des gens sont des chrétiens. Il y a des croix, des photos de saints, de la Vierge Marie et du Pape Théodore II sur les murs de nouveaux bâtiments et à l’intérieur les camions.
Après dix minutes à pied, nous arrivons devant une grande porte noire fabriquée en fer. Derrière cette porte, c’est un autre monde, c’est une transformation complète, une image totalement différente, où il y a des espaces verts à gauche et des bâtiments à droite, l’air est un peu plus pur et l’odeur a disparu. Ensuite nous entrons dans un bâtiment c’est comme un atelier qui se compose de deux sections ; la première pour le recyclage du tissu et la deuxième pour le papier. À l’instant notre attitude change surtout après la rencontre avec la directrice de l’atelier. Selon elle « Tout le monde travaille ici pour vivre, personne ne demande de l’aide sans travailler ».Elle ajoute aussi « la plupart des gens dans notre quartier souffre de plusieurs maladies comme : le diabète et la drépanocytose, mais nous les aidons pour obtenir le traitement.» Elle nous emmène dans un tour pour voir les différentes étapes du recyclage et à la fin nous arrivons dans un bazar où les produits finals sont très simples, très créatifs et très utiles comme le montrent les photos :
Notre première impression, suite à notre arrivée au quartier et avant même de quitter le bus, est l’impossibilité de vivre dans un endroit comme ceci. En effet, nous remarquons la présence des montagnes, d’ordures, des déchets et des mouches, sur les deux côtés de la rue tout au long du chemin. De plus il y a une odeur insupportable comme s’il y avait des cadavres et pas des êtres vivants. Ensuite le bus s’arrête et nous descendons dans la rue, c’est une image inoubliable, les déchets partout, les bâtiments sont anciens, il y a beaucoup de mouches, de boue par terre, des animaux, surtout des ânes. Nous commençons à nous déplacer dans le quartier ; nous voyons des enfants qui jouent ensemble, des femmes qui restent devant leurs maisons au milieu des ordures en faisant le tri sélectif. Il y a aussi des marchandises et des domiciles. Il y a aussi quelque chose remarquable, c’est que la plupart des gens sont des chrétiens. Il y a des croix, des photos de saints, de la Vierge Marie et du Pape Théodore II sur les murs de nouveaux bâtiments et à l’intérieur les camions.
Après dix minutes à pied, nous arrivons devant une grande porte noire fabriquée en fer. Derrière cette porte, c’est un autre monde, c’est une transformation complète, une image totalement différente, où il y a des espaces verts à gauche et des bâtiments à droite, l’air est un peu plus pur et l’odeur a disparu. Ensuite nous entrons dans un bâtiment c’est comme un atelier qui se compose de deux sections ; la première pour le recyclage du tissu et la deuxième pour le papier. À l’instant notre attitude change surtout après la rencontre avec la directrice de l’atelier. Selon elle « Tout le monde travaille ici pour vivre, personne ne demande de l’aide sans travailler ».Elle ajoute aussi « la plupart des gens dans notre quartier souffre de plusieurs maladies comme : le diabète et la drépanocytose, mais nous les aidons pour obtenir le traitement.» Elle nous emmène dans un tour pour voir les différentes étapes du recyclage et à la fin nous arrivons dans un bazar où les produits finals sont très simples, très créatifs et très utiles comme le montrent les photos :
« Je travaille dix heures par jour, dans la transportation des déchets. J’aime bien mon travail et je suis fier aussi, mon rôle est très important dans la société ; les ordures c’est notre vie, monsieur. » a déclaré un des habitants du quartier.
Enfin et après cette visite nous nous posons la question suivante : Est-ce que la richesse est seulement la richesse d’argent? bien sûr que non, même si la première impression, c’est la pauvreté d’apparente mais la vérité, c’est qui il y a une énorme richesse d’être. Les habitants du quartier travaillent malgré toutes les circonstances et ils sont riches avec des idées, des talents et de la créativité. Selon eux « les déchets, c’est un trésor secret ». Donc l’argent n’est pas la source unique du bonheur mais c’est le travail. Et comme le dit Voltaire : « Le travail éloigne de nous trois grands maux : l'ennui, le vice et le besoin.» donc « Il faut cultiver notre jardin. ». Candide. Chapitre XXX c'est-à-dire il faut travailler.
Enfin et après cette visite nous nous posons la question suivante : Est-ce que la richesse est seulement la richesse d’argent? bien sûr que non, même si la première impression, c’est la pauvreté d’apparente mais la vérité, c’est qui il y a une énorme richesse d’être. Les habitants du quartier travaillent malgré toutes les circonstances et ils sont riches avec des idées, des talents et de la créativité. Selon eux « les déchets, c’est un trésor secret ». Donc l’argent n’est pas la source unique du bonheur mais c’est le travail. Et comme le dit Voltaire : « Le travail éloigne de nous trois grands maux : l'ennui, le vice et le besoin.» donc « Il faut cultiver notre jardin. ». Candide. Chapitre XXX c'est-à-dire il faut travailler.